

QUI EST CONCERNE PAR LE CANCER DU POUMON ALK + ?
Toute personne ayant des poumons est à risque de contracter un cancer du poumon ALK+. Environ 4 % de tous les cancers du poumon ont pour origine cette altération. Ce cancer rare, ne peut être diagnostiqué que par des tests moléculaires. Parmi les patients présentant cette altération du gène ALK, environ 50 % ont moins de 50 ans au moment du diagnostic, environ 65% n'ont jamais fumé et une grande majorité sont des femmes.

LE NOUVEAU VISAGE DU CANCER DU POUMON
“ALK-positif” désigne une altération du gène ALK (de l’anglais Anaplasic Lymphoma Kinase) qui a pour résultat une multiplication anarchique de certaines cellules qui provoque un cancer particulier du poumon.

Paula
“Op maart 2018 kreeg ik de diagnose lonkanker nsclc. Na 1,5 jaar op immunotherapie, bleek na een biopsie dat ik ALK+ ben. Vanaf dat moment slik ik TKI’s en de kanker is stabiel.”

Florence
48 ans, Diplomate de profession, au retour de plusieurs années en poste dans des zones en conflit armé, est épuisée. Les médecins lui diagnostiquent un « burn out » et lui prescrivent le repos complet. Au bout d’une année sa situation ne s’étant pas améliorée d’autres tests permettent d’identifier une cause oncologique et qu’elle est touchée par un cancer à un stade avancé. Des tests moléculaires permettent de déterminer qu’elle peut bénéficier d’une thérapie ciblée qui lui permet de stabiliser l’avancée de la maladie.